DOCTOR WHO – Saison 3 – Épisode 2 « The Shakespeare Code / Peines d’Amours Gagnées » – Critique

The Shakespeare Code ***

Pour l’instant, cet épisode est mon préféré.

Ok, certains diront que l’intrigue n’était pas extraordinaire (et c’est pour cela qu’il n’a que 3 étoiles), mais tout de même… Le pouvoir des mots, c’est un bon thème.

Comme le dit le Docteur, les mots peuvent changer les gens … et là, ils peuvent déchaîner l’Enfer sur Terre.

Et Martha m’a parue moins parfaite… En fait, si… C’est toujours miss perfection… Mais ici, nous avons la preuve, elle ne sait pas tout (elle ignore la mort du fils de Shakespeare)… et le Docteur ne lui a dit qu’une seule fois « Bien vu! »…

Waw… Lol, je crois qu’on pourra tout de même les collectionner, ses « Bien vu, Martha Jones » à la fin de la saison…

Cependant, Miss Jones se prend la gifle de sa vie lors de la fameuse scène du lit.

Alors que tous les pauvres fans de Rose s’apprêtaient à haïr cette scène, elle s’avère être bien plus Docteur/Rose que Docteur/Martha. Alors qu’ils sont tous les deux allongés dans le même lit, face à face, il lui dit que Rose aurait découvert la vérité depuis longtemps… mais bon, ce n’est qu’une novice!

Ouch!

Martha est loin d’être ravie… et le Docteur est toujours aussi malpoli.

Le nom de Rose est cité une seconde fois (décidément!) lors de la confrontation entre le Docteur et Lilith. La sorcière ne peut trouver le véritable nom du Docteur mais bien, un autre, dont la distance le désespère… Rose.

Mais ce nom lui donne envie de combattre!

Awwww…. Mon petit cœur de shipper est aux anges…. Et vénère Gareth Roberts.

Quand on pense auteur de romans Doctor Who et fan du Docteur & Rose, on pense à Jacqueline Rayner (« Winners take all », « The Stone Rose ») pas à Gareth Roberts (« Only Human », « I am a Dalek »)…

Hé, comme quoi, on a toujours de bonne surprise quand on s’y attend le moins.

Martha et Shakespeare étaient très mignons… et les allusions aux œuvres du grand maître merveilleuses.

Aussi le thème de la folie est traité avec beaucoup de finesse… avec les asiles psychiatriques de l’époque et la propre expérience de William Shakespeare.

Vraiment, on ne s’ennuie pas un seul instant.

Surtout à la fin, lorsque la reine Elizabeth I apparaît… et ordonne à ses gardes de capturer le seigneur du temps…

Ohhh!!! Une autre reine Victoria!

Dans cet épisode, il y a d’ailleurs quantité de références à cet épisode (« Un loup-garou royal ») : le Docteur s’introduit devant William comme « Sir Docteur du Tardis ».

Bref, Rose n’est pas oubliée, même si l’histoire n’est pas géniale, elle est amusante, les acteurs sont excellents et les effets spéciaux toujours aussi extraordinaires….

Cet épisode a amplement mérité ses 3 étoiles… vous ne croyez pas?

Ecrit par Sunny