DOCTOR WHO – Saison 4 – Épisode 8 « Silence in the Library » – Critique

Silence in the Library ***

LOL! Je suis la SEULE à ne pas avoir aimé! Enfin… pas vraiment.

Bon. Huh. Que dire?

C’est un épisode écrit pas Steven Moffat, et donc, il est bon. Bon, mais pas extraordinaire.

Je dirais même un peu lent. Mais ce n’est que la première partie, n’est ce pas ? Il faut bien le temps de mettre en place intrigue et personnages.

Le Docteur et Donna forment, comme à leur habitude, merveilleuse équipe, drôle et complice, se souciant l’un de l’autre, tout en gardant ses distances !

« Bas les pattes ! » Lol !

Cependant, Moffat tombe dans les clichés et la moitié de son script manque d’originalité. Hum hum.

Nous ne parlerons pas de plagiat, mais nous dirons des « références » à d’autres films/séries de science fiction.

La petite fille et la TV ? C’est Life on mars.

Le monde réel n’est qu’un rêve et le rêve est réel, c’est Matrix.

Les difficultés de vivre avec un voyageur du temps ont été racontées dans un livre « The Time traveller’s wife », qui a eu un grand succès et le film sortira bientôt en salles, merci beaucoup !

Et j’en passe.

De plus, je ne sais pas pour vous, mais le 51ème siècle, je commence à en avoir mon compte.

Monsieur Moffat, ne pouvez vous pas créer des personnages d’une autre époque ?

Le Capitaine Jack. Le vaisseau Madame de Pompadour. Et maintenant River Song !

J’en viens donc à notre « chère » archéologue.

Je ne critiquerai pas son nom, comme certaines de mes amies anglaises, on ne juge pas un livre à sa couverture. De plus, j’ADORE Alex Kingston et Elizabeth Corday était mon personnage préféré dans « Urgences ».

Cependant, j’ai bien peur que le Professeur Song soit sur ma liste noire.

Des regards mielleux à souhait au Docteur ?

Un désir évident d’être remarquée et reconnue, alors qu’elle le dit elle-même : les spoilers sont dangereux !

Laisser le livre bleu/livre du Tardis à portée de main du Docteur, de façon à se qu’il soit tenté et qu’elle puisse lui dire : « Désolé, chéri, mais tu ne peux pas le lire. Je connais tes règles ».

Lui montrer son tournevis sonique en lui disant : « Oui, j’en ai un, tu me l’as donné, parce que je suis spéciale ».

Laisser supposer le pire à Donna sur son futur quand cette dernière commence à douter d’elle.

Et j’en passe…

De plus, elle l’a dit elle-même : « J’ai menti. Je mens tout le temps ».

Je sais, c’est hors contexte, mais, dans ce genre d’histoire, tout a de l’importance. Même la moindre ligne. C’est une menteuse. Elle le reconnaît elle-même.

D’où, je suis persuadée qu’elle est le maître des ombres. C’est elle qui tire les ficelles, et non la petite fille, comme on pourrait le croire.

Elle est peut être une future compagne, peut être qu’elle aura même tout ce que Rose n’a jamais eu (mariage, pique-nique en amoureux sur Asgard …), mais elle finira par rejoindre le côté obscur de la force.

C’est écrit.

Dans le livre bleu.

Page 23527.

Lol !

Ecrit par Sunny